Comment reconnaître un produit SafeTea™ ?

SAFETEA™ : L’ENGAGEMENT DE PALAIS DES THÉS POUR LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE

La pureté des thés, via la qualité des modes de production est, depuis toujours, au cœur de l’engagement de Palais des Thés.
Malgré tous les efforts et procédures mises en place par l’UE pour garantir la sécurité alimentaire, seule une faible proportion des denrées proposées à la vente peut être contrôlée par les pouvoirs publics.

Conscient de cette situation, Palais des Thés a décidé de prendre une position radicale d’autocontrôle systématique en mettant en œuvre SafeTea™, qui vise à garantir la « propreté » de tous nos thés en matière de pesticides.

À présent, 100 % de nos thés conventionnels sont systématiquement contrôlés en France avant leur commercialisation, selon la norme UE 396/2005. Ainsi, pour une même référence de thé, le contrôle est réalisé à chaque arrivage et pour chaque lot.
Mémorisez ce logo, il est appelé à se généraliser dans nos boutiques. Il garantit que les produits qui le portent respectent les exigences de la réglementation UE sur les résidus de pesticides et qu’une analyse spécifique en atteste.

*Contrôlé selon le règlement UE sur la qualité phytosanitaire des denrées.

Honduras : Bourbon Rouge et Catuaï

Café équitable Capucas région de Copan
Issu de l’agriculture Biologique

 

Ce café est certifié commerce équitable par le système SPP : Symboles des Producteurs Paysans, enfin un label qui appartient aux producteurs qui en définissent les normes et les critères : www.spp.coop

Ce café provient de plusieurs petites plantations sur le terroir de deux coopératives au Honduras, dans la région de Copan au nord ouest du Pays et dans celle de Marcala plus au sud.

 L’altitude de ces régions  comprise entre 1 300 et 1 800 m est idéale pour la culture d’un café Grand Cru.

Nous sélectionnons uniquement les variété d’Arabica «Bourbon rouge » et “Catuaï” pour garantir un café typé et caractéristique.

Les plants de café sont cultivés sous ombre, ce qui permet un bon développement des fleurs et des fruits, conservant ainsi les sols avec un apport de matière organique grâce à la chute des feuilles. La biodiversité est ainsi protégée avec beaucoup d’espèces végétales et animales dans un milieu forestier adapté.

La culture se fait selon des méthodes biologiques, avec utilisation de la pulpe en décomposition, de guano marin et autres engrais naturels.

De nombreux d’arômes sont concentrés dans le grain grâce à la cueillette manuelle des fruits bien mûrs. Ce café lavé est ensuite séché lentement sous serre ventilée, sur plusieurs niveaux pour une qualité optimale.

Ce café bien équilibré, puissant et long en bouche, aux notes de réglisse et de chocolat, vous fera voyager dans la grande forêt d’Amérique centrale.

Ces deux coopératives (Capucas et Comsa) sont pionnières dans la région en matière de développement durable, de projets sociaux et d’écotourisme.

Des infrastructures modernes et adaptées facilitent le traitement du café par voie humide, tout en respectant la qualité à chaque étape de la transformation.

Source saldac.com

Equateur Palanda. Equitable

Café d’altitude, ce grand cru rare est cultivé à 1500m environ, dans la province de Zamora à l’Est du pays par l’APECAP .

Avec un corps rond, ce café présente un goût avec d’agréables notes aromatiques chocolatées, de caramel et de miel.  Café issu de l’agriculture biologique. 

Ce café est certifié commerce équitable par le système SPP : Symboles des Producteurs Paysans, enfin un label qui appartient aux producteurs qui en définissent les normes et les critères : www.spp.coop

Arabica qui présente un goût délicatement corsé. il a un corps rond et apporte d’agréables note de miel, de chocolat et de caramel.

Il conviendra aux amateurs de cafés légèrement corsés.

C’est un café arabica d’altitude. Ce Grand Cru rare est cultivé dans le sud de l’équateur par l’association de Producteurs de Café Palanda.

La récolte a lieu d’avril à fin septembre.

La cueillette manuelle ou picking est la méthode de récolte la plus noble. Elle consiste à ne cueillir que les cerises suffisamment mûres en plusieurs passages. Concrètement, on laisse le temps à la nature et aux plantes de donner le meilleur d’elles-mêmes. De plus, chaque caféier est respecté.

Le cueilleur devra se concentrer pour ne récolter que ce qui peut l’être et devra effectuer plusieurs passages sur une même plante. Ce qui permet de garantir une qualité incontestablement supérieure, c’est un travail long et fastidieux. 

Pérou : Sanchirio El Palomar

Café équitable
Issu de l’agriculture Biologique

Ce café est certifié commerce équitable par le système SPP : Symboles des Producteurs Paysans, enfin un label qui appartient aux producteurs qui en définissent les normes et les critères : www.spp.coop

Au Pérou, les caféiers grandissent généralement à l’ombre de grands arbres (les Pacay) qui protègent les fleurs de la brûlure des rayons du soleil pour faciliter le bon développement du fruit.

La présence d’arbres est aussi une forme de culture écologique qui préserve l’écosystème.

Les racines favorisent la conservation du sol, empêchant l’érosion, et la partie aérienne assure l’habitat des espèces animales (singes, oiseaux), respectant ainsi l’environnement.

La chute des feuilles fournit de la matière organique aux caféiers, en produisant une épaisse couche d’humus, indispensable pour la croissance des plantes, évitant des dépenses supplémentaires en engrais pour les petits paysans dont les ressources sont limitées.

Une ombre bien contrôlée garantit aussi une faible présence de maladie, réduisant les coûts en fongicides et insecticides éventuels. Trop d’ombre entraîne effectivement un fort degré d’humidité, source de moisissures et de maladies.

La floraison a lieu d’octobre à décembre selon l’altitude, et c’est quelques mois plus tard que les fruits des caféiers commencent à se former, pour finalement mûrir à partir de mars, avril ou mai selon l’altitude.

 La récolte a lieu d’avril à fin septembre.

Dans les secteurs moins élevés les agriculteurs sont les premiers à récolter alors que en altitude, la récolte se termine parfois fin octobre. Il s’agit d’une récolte sélective où seuls les gros fruits bien rouges sont ramassés : on les appelle café cerise.

En effet, tous les grains ne mûrissent pas en même temps, et les agriculteurs doivent effectuer plusieurs passages dans chaque parcelle, en général un tous les 15 jours, pour pouvoir récolter l’intégralité de la production.

C’est un travail long et fastidieux. Les petits producteurs comme à Sanchirio Palomar font la récolte en famille et avec les voisins, alors que les gros producteurs peuvent se permettre d’embaucher du personnel. Quand les producteurs vendent leur café sur le marché local, la récolte n’est pas totalement sélective, car le prix payé par les intermédiaires ne justifie pas les efforts fournis.

Source saldac.com

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